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 Thuram : "Il voulait être prêtre, il ne savait pas qu'i

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Thuram : "Il voulait être prêtre, il ne savait pas qu'i Empty
MessageSujet: Thuram : "Il voulait être prêtre, il ne savait pas qu'i   Thuram : "Il voulait être prêtre, il ne savait pas qu'i EmptyDim 30 Juil - 9:05

Thuram : "Il voulait être prêtre, il ne savait pas qu'il existait la profession de joueur de football"

Lilian Thuram nous montre son côté plus humain dans ces réflexions sur lui, la vie et le football

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"Je suis né en Guadalupe, une des îles des Caraïbes où il y a de nombreuses années il est passé quelque chose cruel et extraordinaire en même temps. Il a été cruel parce que ce qui est africains ont été réduits là à l'esclavage. À la fin de cette période de captivité sont arrivés ce qui est indiens, conséquence que la culture de Guadalupe est aujourd'hui un mélange. Je, Lilian Thuram, suis un produit de ce mélange et de cette rencontre tragique dont est née la nouvelle culture. C'l'est ceci ce que m'il indique sur les questions de métissage. Le métissage culturel est une richesse, mais il peut être un traumatisme s'il n'est pas bien expliqué”. La présentation de Lilian Thuram, nouveau joueur de Barcelone, sert à contextualiser ses racines et à expliquer comment, à ses 34 années, elle est arrivé à se transformer un défenseur des populations exploitées.

Impliqué dans les problèmes sociaux, Thuram interprète à traversée de ses expériences la réalité de la France et de l'Afrique. “Je suis le fruit d'une famille monoparentale. Ma mère a eu cinq fils et a dû émigrer à la France pour nous donner quelque chose meilleur de de ce que pouvait offrir nous en Guadalupe. Cette expérience a marqué ma vie. Il avait neuf années quand nous nous sommes ensuite allés vivre à Bois Colombes et à Avon, dans les alentours de Paris. Là j'ai trouvé tout type de gens qui venait de différents horizons : De Pakistan, du Zaire, du Portugal, de l'Espagne, du Maroc, de l'Algérie. Mon meilleur ami était espagnol. J'ai crû avec tous ces garçons, sans barrière de nationalité. Il y a toujours eu un grand entendement, une grande amitié. Ensemble, par exemple, nous découvrions les jeux des autres, leurs coutumes, la manière d'habiller, les musiques, les festivités... Je me suis nourrie de cette réalité. Il est pour cette raison par laquelle de nos jours je ne comprends pas l'incomprensión des gens”.

Le dédain à l'étranger est un aspect qui indigne à Thuram parce que, il considère, est le fruit de l'ignorance : “Les personnes nous sommes différents mais seulement culturellement. Il faut comprendre que tous nous aspirons la même chose : Au bonheur. Tous nous voulons être heureux en dépit de ne pas choisir de le même chemin pour l'obtenir. Nos religions, par exemple, peuvent être différentes, mais toutes essayent de nous emmener au bonheur. Le problème que je vois est que les gens il ne s'agit pas de connaître. Il est fondamental d'apprendre à connaître l'autre. Un ne peut pas respecter l'autre, ni veut vivre avec l'autre s'il ne le connaît pas. Il ne peut pas être connu à l'autre s'il se limite à vouloir que nous il se ressemble”.

Thuram essaye de trouver une sortie aux questions les plus inquiétantes par le biais des grands penseurs. “Tentative informer je des aspects qui plus m'intéressent. Je lis des livres de philosophie parce que je crois qu'il est important de se mettre les questions de de pourquoi nous sommes ici et où allons. En même temps, mo'intéresse beaucoup la culture noire, l'histoire de de ce qui est noirs. C'est quelque chose qui n'est pas appris dans l'école parce que dans les livres de texte l'histoire de de ce qui est noirs commence avec l'esclavage”.

LE FOOTBALL

Avec une trajectoire de quinze années dans le professionnalisme, Thuram assure qu'on a porté une surprise avec son destin. “Quand j'était petite je rêvais en se transformer mo'un prêtre. Mo'ils ont toujours eu un impact sur mots qu'ils faisaient référence au fait de partager. Il les écoutait en masse. Il m'a marqué la voix de cet homme qui pouvait réconcilier aux personnes, et qu'il pouvait pardonner. C'est quelque chose qui fait encore une partie de de moi. Il voulait être comme lui et non joueur de football. En réalité, il ne savait pas ni qu'il existerait cette profession”, indique.

Il a commencé à jouer dans les rues de Port Prince, comme tout autre garçon de la population : “Il jouait devant maison, aux Antilles. Pour ne pas casser les chaussures, nous nous les enlevions. Nous jouions avec les pieds déchaussés dans le goudron, quelque chose que je ne puis pas aujourd'hui déjà faire. Nous organisions des partis contre des équipements d'autres quartiers. Nous nous faisions nos chemisettes propres et les porterías étaient des morceaux de bois”.

Dans ses débuts, Thuram ne jouait pas de défense, une délimitation qui est mise à occuper avec le pas des années. “Un garçon est difficile pour être défense. Comme tous, il voulait marquer des objectifs. Toutefois, ils m'ont demandé de être défense parce qu'ils ont vu qu'il ne savait pas marquer des objectifs. Il m'a attristée, mais ai dû l'accepter”, a déclaré dans une entrevue dans "Elle Messager".

Le football a changé beaucoup depuis lors. Thuram, toutefois, essaye de maintenir cet esprit de d'alors. “Le football est le bonheur. Il est suffisant d'avoir un ballon et ponerte à jouer pour jouir. Il y aura toujours quelqu'un qui est rassemblé avec toi. Et après un, un autre. Un contre un, deux contre deux, trois contre trois. Et à la fin il est : ‘Nous voyons-nous ici demain ?’_. Dale un ballon à un enfant et tu le rendras heureux. Ses yeux sont illuminés immédiatement. Il joue et il est amusé. Celle-ci est la raison qui fait réveiller tant de passions. Il n'est pas par hasard. Nous, les joueurs de football professionnels, devons maintenir nettoie cet esprit infantile et ne pas mélanger ce sentiment avec tout ce qui déplace le football (argent, intérêts...). une chose l'est ce qui passe dans un domaine et une autre ce qui arrive hors du stade. À partir du moment où il attire à tant de spectateurs le cadre c'est l'idéal pour vendre tout type de choses. Ce qui est Mondial est un exemple. Il faut seulement voir le prix des taches publicitaires. Tous les pays veulent ce qui est Mondial parce que ceci produit beaucoup d'argent. Il faut différencier les deux aspects. Les joueurs nous devons garder cette illusion des enfants pour transmettre des émotions à auxquels ils nous surveillent”.
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