La Romareda a été hier la scène d'un nouveau chapitre de la guerre que le camerunés Samuel Etóo a déclarée depuis longtemps au racisme. Cette fois l'avant blaugrana n'a pas jeté main de l'ironie après avoir écouté une fois de plus quelques cris racistes de celles gradas, mais l'a décidé d'abandonner le terrain de jeu en signal de protestation. À la fin il n'a pas accompli sa menace puisqu'entre des compagnons, rivaux, techniciens et arbitre ils l'ont convaincu pour qu'il continue à jouer. Mais en n'ayant pas changé d'avis, ses compagnons ils l'auraient secondé et ils auraient laissé le gazon de la Romareda, comme ont assuré après la rencontre joueurs comme Márquez ou Ronaldinho. Il manquait moins d'une place d'heure pour la fin du temps réglementaire, avec le marqueur encore en lien à zéro objectifs, quand la Saragosse a cédé son premier córner. Etóo s'est approché au coin du domaine, à gauche de la portería de César, avec l'intention de lancer le córner. Mais un petit secteur de ventilateurs l'a reçu en lui lançant un certain objet (une bouteille ou un verre) et avec les cris racistes de coutume, cette cantinela "d'uh, uh, uh" qui prétend comparer à une personne avec un singe. Les Coins associé Tours a arrêté le parti et dans un premier temps il s'est adressé à la zone des sellettes pour demander dans un premier temps au délégué de domaine zaragocista que par sonorisation on demande aux ventilateurs qu'ils ne continuent pas à lancer des objets sur le domaine. Dans celles-là Etóo a écouté de nouvelles insultes et moqueries. C'a été la baisse qui a comblé l'verre. Le camerunés, très fâché, a commencé à marcher en direction des vestiaires, tandis qu'il montrait clairement son indignation. Lui ils se sont immédiatement approchés des rivaux comme Alvaro ou César pour essayer de le calmer, tout comme des compagnons comme Ronaldinho ou celui propre associé du parti. Entre tous ils l'essayaient de convaincre que sa décision ne l'était pas ce qui plus lui convenait ni à à lui ni à son équipement. Mais Etóo il paraissait de l'avoir très clair et il était maintenu ferme. Il disait que "je ne supporte pas plus. Non plus ". On est même arrivé à sortir d'en haut avec les mains à des Coins des Tours pendant ce trajet dans lequel son compagnon Ronaldinho a été toujours maintenu à son côté. Vu que le camerunés ne cédait pas, ont été les techniciens blaugrana - premier Ten Goûte et ensuite Rijkaard -, ceux qui sont entrés dans le domaine - avec l'autorisation de l'arbitre - pour parler avec Etóo et le calmer. Ils l'ont obtenu et à la fin le parti a pu être repris, bien qu'à partir de ce moment la pression sur l'Etóo ait été notamment augmentée. N'ont pas déjà été quelques-uns exaltés ceux qui l'ont insulté, mais un vaste secteur du stade, bien que par sonorisation on avait lancé le message suivant : "Par le bien de Saragosse Réelle nous leur demandons de cesser de jeter des objets et crient des expressions offensives". En finissant la rencontre Etóo il a abandonné le domaine en faisant le signe de la victoire avec les deux mains, dans un clair signe de défi à ces ventilateurs qui l'écartaient avec des huées et des cris d'"idiot". Après avoir douché, le camerunés international il a été abrité dans des casques et a aligné le chemin vers le car - quelques ventilateurs à nouveau lui - sans vouloir faire des déclarations aux journalistes. Ce n'était pas la première fois qui à Etóo le arrivait quelque chose semblable dans un domaine. La saison passée, par exemple, a fait l'objet aussi de huées racistes en Getafe ou dans la Romareda, bien qu'à cette occasion a choisi de faire taire les insultes en imitant les gestes d'un singe en tenant un objectif. Comme il a alors expliqué, "s'ils traitent comme à des singes, tenons comme à des singes".
Source : http://www.sport.es
Traduction : http://www.fcbarcelone.c.la